D'abord, j'hésite, je n'ose pas
Puis je l'effleure de mes doigts
Et tout de suite, il réagit
Que ça va vite, je rougis
Moi qui ai un petit problème de langage
Avec des gestes je suis beaucoup moins sage
Je suis timide, mais je crois que j'ai fait une touche
Je me décide et mon message me touche
Oui, j'ose
Elle ose
Maintenant, je vois la vie en rose
Mini... minitel
(C'est vraiment vachement bien. Et appeler son héros informaticien "Pascal", c'est signe d'un humour et d'une intelligence rare...)
Le site de Gallimard
La Théorie de l’information est une épopée économique
française. De l’invention du Minitel à l’arrivée des terminaux mobiles,
de l’apparition d’Internet au Web 2.0, du triomphe de France Télécom
au démantèlement de son monopole, on assistera à l’irruption d’acteurs
nouveaux, souvent incontrôlables.
La Théorie de l’information est l’histoire de Pascal
Ertanger, le plus brillant d’entre eux. Adolescent solitaire épris
d’informatique, il verra son existence basculer au contact de certains
artefacts technologiques : éditeur de jeux en BASIC, pornographe
amateur, pirate récidiviste et investisseur inspiré, il deviendra l’un
des hommes les plus riches du monde.
La Théorie de l’information raconte aussi comment
un article scientifique publié en 1948 a révolutionné l’histoire des
télécommunications et fait basculer le monde dans une ère nouvelle,
baptisée Âge de l’information. Pascal Ertanger s’en voudra le prophète
exclusif.
EDIT: De nombreuses critiques du bouquin que j'ai pu lire ici et là me semblent passer à coté de beaucoup de choses intéressantes. Non, la fin du roman ne part pas en confetti, et oui l’intérêt du roman est ailleurs que dans simplement l'évocation d'un Xavier Niel-like... C'est Shannon le personnage principal. Et c'est bon. Et oui Thierry Breton est sexy en diable. Et non, les abeilles génétiquement modifiées, ça n'a rien d'idiot ou de bizarre...
Ce livre est extrêmement bon, de bout en bout. Il manque peut être des hommes crocodiles, un cyborg ou des motos comme dans Akira, et encore, à la limite...
Et il n'est pas écrit pour les geeks. C'est bien plus proche de Coupland et Houellebecq que de Bernard Werber (sic...)
Lisez le et faites vous une idée.
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