27.3.07

Leonard Cohen porte le beret avec classe

et moi pas du tout...

Je parle peu souvent de livres qui ne m'ont pas plu. Je parle également peu souvent de livre qui m'ont énormément plu, tout simplement parce que je ne saurai comment transmettre au mieux mon enthousiasme... En fait, je ne vous parle que des bouquins sympa, bien, mais pas révolutionnaires. Et bien sur, c'est une betise. Comme l'intégralité de ce truc. Passons...

Alors commençons par le début: acte 1, la dénonciation sauvage. On trouve beaucoup beaucoup de livre sur la musique, et même de plus en plus (un filon pour porteurs d'Ipod sans doute). Et tout n'est pas bon. La preuve, ce que vient de sortir le Castor Astral, c'est tout sauf intéressant.
- bam -

De la redite, du pompage de vrai journalisme et des envolées étranges sur des sujets dont on se contre fout. Cette bio a tous les désavantages qu'on peut craindre pour ce type d'ouvrage. Elle sent le tabac froid et moi j'aime pas ça.

Un mec qui écrit ce genre de trucs mérite une bio à sa taille:
Ce matin je me suis encore éveillé
Je remercie le Seigneur pour cela
Le monde est une telle porcherie
Que j'ai du mettre un chapeau


Donc on résume
ça c'est bon et tu peux le lire en te léchant les doigts:













là t'apprendras rien et le pire, tu comprendras pas tout...











Leonard, je te laisse le mot de la fin...

Oh the sisters of mercy, they are not departed or gone.They were waiting for me when I thought that I just can't go on.And they brought me their comfort and later they brought me this song.O h I hope you run into them, you who've been travelling so long

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