Comme je sais que Coquillages va nous faire des revues de concerts electro-pop-rock toute cette semaine, je le grille dès ce matin avec de la belle fançon chrançaise pour parler de ce que j’ai vu hier soir. Je vous parlerai de Pogrom après demain.
Hier soir, à la Maroquinerie, j’ai été écouter, POLO (artiste au même titre que Tahiti 80, ou les Svinkels chez Atmosphériques, je dis ça au passage…).
Il était là pour la sortie de son nouvel album, Portes Dorées. (l’illustration de la pochette, c’est quand même Jean-Christophe Menu, je redis ça au passage ).
Je ne vais pas m’étendre, mais j’ai passé un très bon moment, notamment en découvrant les nouvelles versions de «Célimène» ou du «Beau Mariage». Mon gros coup de cœur va aux nouveaux morceaux, «Négresse» et «Casino», deux odes à la femme, une passante de Barbès et une caissière de supermarché… «Les guitares» aussi, entre Blanche et Pigalle. Bref, que du bonheur, du neuf et du joli, avec un air de Paris au soleil. A écouter sur son site, remis à jour pour l'occasion. ICI
On ne dira pas que Bénabar fumait trop, à en rougir les yeux de Martin Saccardi, que Kent avait des favoris monstreux et des baskets trop moches ou que Thibault Derien est resté debout tout le concert à chercher un strapontin invisible… on tomberait dans le people groupie fadasse. Passons.
Un album que je vais acheter, moi, car contrairement à Coquillages, je ne prône pas le gravage comme anecdotique. C'est un vrai problème de société qui mérite un référendum lui aussi. Pour l'instant, c'est chacun son choix. J’ai chopé une méthode pour cela :
ICI
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