29.5.05

Novarocks

Péché sur le site de Nova:


Deux mois après son premier album solo She Was A Girl, la révélation soul française Spleen présente la compilation The Black & White Skins, à la fois collectif multiforme d'énergies pluri-culturelles et structure de production. Une famille, un label, une bande, peu importe le générique tant que le partage et l'indépendance dominent. On y retrouve ses récentes rencontres musicales (Coco Rosie, Devendra Banhart, Patricia Marx, Antony and the Johnsons, Jana Hunter), son crew parisien et des collaborations au gré du vent ou du hasard, qui partagent ce même désir d'ouverture rythmique et mélodique.
Où est passé le vieux monde underground ???
Il est près de chez vous, alors n'hésitez pas!

Péché sur le site des Inrocks:

Après un passage remarqué au festival Les Femmes s’en mêlent, les new-yorkais de Metric seront bien présents ces prochaines semaines dans nos contrées. Vous pourrez les retrouver
le 2 juin à St Brieuc (festival Art Rock),
le 9 à Paris (la Maroquinerie),
le 10 à Hossegor (Rip Curl Festival)
le 14 août à Saint Malo (La Route du Rock).

Metric a fait paraître en avril dernier l’album Old World Underground, where are you now ?, où figure notamment le titre Dead Disco issu de la bande originale du dernier films d’Olivier Assayas, Clean.

Plus d’infos :
Le
site de Metric
Le
site d'Artrock

Pour se faire plaisir, à écouter:
Dead Disco

Péché sur le site de Liability :
Gang Gang Dance
God's Money


On sait peu de choses sur Gang Gang Dance, si ce n'est que cet obscur quatuor vient de New-York, et qu'il a une prédilection pour les rythmes alambiqués, les sonorités exotiques et la musique électronique expérimentale. God's Money exhale la folie, mais c'est une folie très structurée, maîtrisée. Liz Bougatsos pousse des hululements d'attardée mentale avec une désinvolture qui incite à penser qu'elle doit venir de plusieurs années-lumières de la Terre; son claviériste de mari doit être sacrément frapadingue lui aussi, pour inventer des arpèges aussi autistes. Et le batteur: des "poum-poum-tchaks" à tiroirs, des rythmiques tribales à cinq temps, bref, il y a de quoi se taper la tête conter les murs. Dans tout ce fatras déglingué, surnagent quelques morceaux plus mélodiques, comme le très bon "Before My Voice Fails" (raté pour le coup), et l'hallucinant "Egowar".

Allumés. Complètement allumés. Stoppez tout, et mettez Gang Gang Dance dans la platine; vous comprendrez ce que bizarrerie ultime signifie.

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